Combien d’entre nous vont au travail avec la boule au ventre, traînant des pieds, attendant avec impatience le week-end ? Selon une étude, près de la moitié des salariés restent à leur poste faute de mieux. Pour certains, c’est une question de survie : des factures à payer, une famille à nourrir. Mais ce “prendre sur soi” a un coût.
Maria, diplômée en marketing, se heurte aux préjugés liés à son accent.
Thibault, commercial passionné, subit la pression d’un manager intrusif.
Judith, conseillère en banque, a encaissé le stress pendant 37 ans avant que son corps ne craque.
Ces histoires illustrent une réalité : beaucoup d’entre nous sont piégés dans des emplois qui ne nous satisfont plus, mais que nous ne pouvons quitter.
Le travail occupe une place centrale dans nos vies, comblant nos besoins d’accomplissement et de sécurité. Mais quand ces besoins ne sont pas satisfaits, la frustration s’installe. La psychologue Vanessa Lauraire suggère de prendre du recul et de réévaluer notre rapport au travail. Quels besoins cherchons-nous à combler ? Que signifie le travail pour nous ?
Face à cette impasse, des solutions existent : bilans de compétences, soutien psychologique, ou encore la mobilisation de son réseau. Parfois, il faut savoir ralentir, se recentrer, et envisager de nouvelles perspectives.
Et vous, vous retrouvez-vous dans ces récits ? Quels sont vos leviers pour surmonter ces périodes d’incertitude ?
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